Cette semaine, j’avais envie d’écrire sur la Journée internationale des droits des femmes pour souligner à quel point notre condition a progressé en un siècle et pourquoi il est essentiel de s’en souvenir.

Le 8 mars est l’occasion de célébrer les avancées obtenues, mais aussi de rappeler le chemin qu’il reste à parcourir. Depuis un siècle, les droits des femmes ont considérablement évolué, leur offrant progressivement plus d’autonomie, notamment dans la gestion de leur propre corps et de leurs finances.
Mais au-delà des combats juridiques et sociaux, il est essentiel de rappeler un principe fondamental : prendre soin de soi est aussi un acte militant. S’accorder un moment de bien-être, comme un massage ayurvédique, c’est reconnaître sa propre valeur et affirmer son droit à exister en dehors des contraintes du quotidien.
Un siècle d’avancées pour le droit des femmes
Les années 1920-1950 : Premiers pas vers l’égalité
Au début du XXe siècle, les femmes étaient encore largement cantonnées au rôle de mère et d’épouse, sans véritable autonomie financière ni corporelle.
Pourtant, certaines luttes ont marqué cette période :
1944 : Le droit de vote est accordé aux femmes en France, un premier pas vers leur reconnaissance en tant que citoyennes à part entière.
1949 : Simone de Beauvoir publie Le Deuxième Sexe, un ouvrage fondateur du féminisme moderne, qui met en lumière la construction sociale de la féminité et la nécessité pour les femmes de s’émanciper.

Les années 1960-1980 : La révolution féministe et la maîtrise du corps
C’est durant cette période que les femmes obtiennent des avancées majeures en matière de droit et d’autonomie corporelle :
1967 : La loi Neuwirth autorise la contraception en France.
1975 : La loi Veil dépénalise l’interruption volontaire de grossesse (IVG), un tournant historique pour la liberté des femmes à disposer de leur propre corps.
1980 : La reconnaissance du viol comme un crime en France, renforçant la protection juridique des femmes.
Ces conquêtes ont permis aux femmes de s’affranchir de certaines contraintes, mais elles ont aussi souligné l’importance de la reconnaissance du corps féminin en tant que territoire d’autonomie et de bien-être.

Les années 1990 à aujourd’hui : La parole des femmes se libère
Les dernières décennies ont été marquées par une prise de conscience collective concernant les violences faites aux femmes, notamment avec le mouvement #MeToo lancé en 2017.

Cette vague mondiale a mis en lumière l’ampleur du harcèlement et des agressions subies par les femmes dans tous les milieux, et a renforcé la nécessité d’un respect absolu de l’intégrité et du bien-être féminin. L’impact de ce mouvement se traduit par des évolutions législatives, une meilleure écoute des victimes et une reconnaissance accrue du droit des femmes à vivre sans peur et sans contrainte.
Prendre soin de son corps : un acte d’émancipation
Le bien-être comme droit fondamental
Pendant longtemps, le bien-être des femmes a été relégué au second plan, derrière les responsabilités familiales et professionnelles. Pourtant, s’accorder du temps pour soi n’est pas un luxe mais une nécessité. Le toucher, notamment à travers le massage bien-être, joue un rôle essentiel dans la reconnexion à soi.

Il permet :
De relâcher les tensions accumulées par les pressions sociétales.
De reprendre conscience de son corps en dehors du regard des autres.
De valoriser son propre bien-être comme une priorité légitime.
Un rituel ancestral à travers l’histoire
Depuis la nuit des temps, les femmes ont pris soin de leur corps à travers des rituels de beauté et de bien-être. Cléopâtre, reine d'Égypte, était réputée pour ses bains au lait d’ânesse, censés préserver la jeunesse et la douceur de sa peau.
En Inde, les femmes pratiquent depuis des millénaires l’Ayurveda et les massages à l’huile de sésame pour nourrir leur peau et équilibrer leur énergie vitale.
Au Japon, les geishas utilisaient des soins à base de riz et de thé vert pour purifier leur teint. Ces traditions montrent que le soin du corps est un héritage précieux, transmis de génération en génération, et toujours d’actualité aujourd’hui.

Les années 1990 à aujourd’hui : Une autonomisation croissante
L’accès aux ressources financières et la place du bien-être dans les dépenses personnelles
Avec la progression de l’égalité salariale (même si elle reste incomplète), les femmes ont acquis davantage de contrôle sur leurs finances. Cela leur permet d’investir dans leur propre bien-être, une démarche longtemps considérée comme superflue. Pourtant, de plus en plus de femmes revendiquent le droit de s’offrir des soins, des massages ou d’autres pratiques favorisant leur épanouissement personnel.
L’importance de la sororité et de la transmission
Les mouvements féministes contemporains insistent sur la nécessité de la solidarité entre femmes. Partager des expériences, s’encourager à prendre soin de soi et s’émanciper à travers des pratiques bienveillantes est une forme d’engagement collectif.
Les ateliers parent-enfant que je propose vont dans ce sens. Apprendre à s'aimer à travers des moments d'échanges et de partage avec son enfant, lui transmettre de l'amour et du respect envers son corps...

Les droits des femmes ont parcouru un long chemin, mais le combat continue. S’accorder du temps pour soi, prendre soin de son corps à travers le massage et d’autres formes de bien-être, c’est aussi une manière d’affirmer son indépendance et sa valeur.
En cette Journée internationale des droits des femmes, rappelons-nous que chaque petite action en faveur de notre bien-être personnel contribue à une avancée collective vers plus d’égalité et de liberté.
Alors, le prochain petit pas vous guidera-t-il entre mes mains expertes? Réservez vite votre massage pour en découvrir ses bienfaits.

Retrouvez-moi sur Auzeville, à proximité de Toulouse, dans le magnifique espace pluridisciplinaire des Cerisiers (37 chemin de l'église). Une question? Je suis joignable par mail ou Whats'app.
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